La nature est ainsi faite. La femme est plus faible que l’homme. Rappelez les chiennes de garde, leurs aboiements ne feront jamais autant respecter l’ordre que le bon coup de crocs du doberman. La puissance du mâle est indéniable.
Prenons n’importe quel terrain sportif qu’il soit parquet, gazon, synthétique, terre battue, malgré la sueur que les femmes s’échineront à verser, le résultat sera toujours d’un ennui mortel comparativement à celui de leurs homologues masculins. Quelle lenteur mesdames ! Ne vous méprenez pas, certains domaines sont acquis à la cause féminine et le resteront. La natation synchronisée, par exemple, ne tient sa beauté que grâce à la volupté des corps féminins qui la pratiquent. A quoi bon vouloir s’imposer dans des sports virils où la force est le maître mot de la discipline ? Pensez-vous qu’une femme championne du monde d’haltérophilie constitue un fer de lance de la féminité ?
Restons chacun dans nos domaines et, comme disait Voltaire, tout ira pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles. Sur notre charmante planète, il existe 79 pays qui ont compris cette loi de soumission naturelle de la femme par rapport à l’homme. Partant du principe que le sexe faible risque de s’auto-éliminer lorsqu’il prendra conscience de son impuissance, de nombreux états ont choisis d’interdire aux femelles de pratiquer certains métiers pour lesquels elles seraient inefficaces. L’un de ces grands protecteurs de la femme, le Kazakhstan, interdit tout être humain dont les organes génitaux sont situés à l’intérieur de son corps de devenir bucheron. En clair, si tu n’a pas ton bâton qui pend entre les jambes, tu ne pourras pas couper d’arbres ! De même, en Biélorussie, seul le charpentier règne en maître et ne prendra pas pour épouse une charpentière. Doit-on y voir par là un lien entre le phallus tout puissant et le gros tronc d’arbre centenaire ? En même temps, Pinocchio, l’enfant de bois était bien un garçon, et ça, c’est un signe les filles !
Allons-y, éliminons tous les métiers sylvestre puisque la preuve en est faite de leur masculinité. Mais pourquoi donc se limiter à cela ? En Russie, les déficientes du chromosome Y disposent d’un large panel de 456 professions qui leur sont totalement prohibées. Suivons ces exemples, et protégeons le sexe faible comme il se doit. Selon le code pénal, un crime ou un délit commis sur une personne dont « la particulière vulnérabilité […] est apparente ou connue de son auteur » entraîne une aggravation de peine. Or, nous savons bien que la femme est vulnérable, eu égard à son physique de crevette l’empêchant de survivre en terre hostile. Aussi, c’est pour sauvegarder cette espèce en voie de disparition que tous ces pays leur interdisent l’accès aux professions qui les mettraient en danger notamment dans le milieu des mines, du bâtiment, de la ferronnerie, des usines, et de manière générale tous les métiers où il est nécessaire de porter du poids. C’est un plan mondial de sauvegarde de la femelle en détresse qui se développe.
Soulignons, pour terminer, la ferveur de la Mauritanie dont le soutien indéfectible pour la protection de l’espèce faible se démontre dans leur largeur d’esprit. En effet, les Mauritaniennes se voient contrer non seulement l’accès aux tâches qui dépassent leur force physique mais aussi celles qui peuvent altérer leur santé, leur intégrité physique et surtout le plus important, leur morale. L’amoralité du travail minière est donc établie pour la femme ; elle risque sans doute la dépravation.
Nous connaissons tous la première phrase du premier article de la déclaration universelle des droits de l’homme qui dit : « Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. » Par contre, apparemment seul 79 pays dans le monde respectent scrupuleusement la deuxième phrase qui dit : « Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité. » Plus qu’un esprit, c’est un engagement fraternel ce plan de sauvegarde. Et avec autant de grands frères surprotecteurs, aux quatre coins de notre planète, nous devons nous sentir en sécurité mesdames !
Marie Jeanne.
de plus, n'oublions pas que les femmes sont à l'origine du chômage depuis qu'on les a autorisé à nous voler nos jobs. combien de femmes travaillent en france? surement plus de 3 millions... aller mesdames un peu de courage, retournez à vos fourneaux et laissé travailler les hommes, vous ferez du bien au pays et aux entreprises (car une femme faut l'avouer entre dépression, congés mat etc c'est quand même pas aussi productif qu'un homme...)
RépondreSupprimersur ce a bientôt et bon blog au fait vite les recettes vu sous cet angle!
Super bon, ton second degré ! Ben oui ça serait con que ce soit ta pensée réelle. Tu serais juste un couillon qui s'écoute et qui croit sans doute avoir raison avec son pauvre petit commentaire misogyne. Les femmes sont des pauvres êtres inférieurs, et c'est pas du tout facile et simpliste de tout leur mettre sur la gueule ...Un peu de courage, aies des couilles et surtout un peu d'objectivité, et d'éducation. Petit résidu de capote.
SupprimerJ'attendais mieux de cet article. Je pensais y trouver enfin la justification de cette soi-disant "puissance du mâle". Las! Ce que j'y lis m'inquiète pour la survie de cette sous-caste de l'humanité qui n'aspire qu'à boire des bières devant un match de foot.
RépondreSupprimerJ'apprends qu'on interdit aux femmes de couper du bois et de descendre à la mine? Grand bien leur fasse : les matières premières venant à se raréfier pour disparaître un jour, on s'interrogera légitimement sur le bien-fondé de cet argumentation, qui prouve plutôt l'inanité prochaine du chromosome Y.
Mais qu'on dévoile le haut d'une cuisse toute féminine, le renflement d'un sein, et ils lâchent déjà leurs armes, ces mâles dominants. Souvent même, ils bavent et se prosternent.
J'en veux pour preuve l'illustration de votre recette de cuisine que vous êtes obligés de publier pour élargir votre cercle de lecteurs : le pouvoir est femelle, mes petits chats!
"le pouvoir est femelle, mes petits chats!" Quand je lis ça, j'imagine une vieille. Sans doute parce que l'auteur sonne comme une vieille fille qui a raté sa vie de femelle. Hehe.
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