Merci à Mle Esthel pour ses 2 pulpeuses. |
Cyprine Millésime
Nous avons tous essayé de nous familiariser avec ce liquide, les plus timides ne m’y tromperont pas. En effet, l’odeur rappelle la piscine ou la criée du Port de Sète, c’est selon l’hygiène ou l’habitude alimentaire du ou de la partenaire, tandis que le goût, la texture n’ont pas d’égale. De la même façon que les épinards ou les blettes, les néophytes s’arrêtent souvent à leurs premières impressions. Or, si l’amour ou l’envie ne sont pas à leur paroxysme à cet instant, ils le dénigreront pour les années à venir, dans la plupart des cas. En somme, pour ce genre de pratique, il faut déconstruire tous ses repères et surtout éviter au cerveau d’opérer des connections avec les produits répugnants ou situations désagréables accumulées dans notre mémoire. Non, la substance que vous avez sur la langue n’est pas comparable à un fruit de mer oublié dans le sac de plage l’été dernier ou encore à un médicament générique fabriqué pour les pays du tiers monde. Cette émulsion obtenue suite à votre doux labeur n’a rien à voir et vous avez tant œuvré pour l’obtenir... Alors que faire ? Pour les deux sexes, vous pouvez choisir de la reverser ou de l’ingurgiter, il n’en changera rien de fondamental pour votre partenaire. Aussi, face à ce dur choix, plongeons nous dans l’aspect historique...
Tradition séculaire, profane des religions dominantes mais souvent soulignée par les croyances des diverses tribus d’Afrique Noire ou Océanie, l’absorption de la semence sexuelle compte parmi les derniers tabous de notre espèce, pourtant de plus en plus curieuse d’ouvrir le champs de sa libido. En effet, en revenant aux cours d’ethnologie 1ère année de ma sœur Pénélope, j’ai gardé le souvenir que l’enseignement libre se faisait fort de rompre d’emblée avec la tradition judeo-chrétienne et son abrutissante «pensée universaliste», pour planter le décors avec l’étude des tribus Massaï de Centre Afrique. Ces derniers considérant le sperme de l’adulte comme bienfaiteur, il était de bon usage d’en abreuver les femmes enceintes, comme les personnes malades ou l’enfant durant son adolescence. Oh, je vous sens méfiants... Une chose est certaine, si je n’ai jamais eu l’occasion de goûter le mafé local, on se doute que cette singulière tradition a eu un impact sur la qualité de la production gastronomique tribale mais pour le reste, le fonctionnement et l’organisation sociale de ces peuplades, le développement physique de ses individus confirment les apport physio-psychiques avancés.
Qui n’a jamais entendu parler dans les récits de colons de cette région du globe, des combats avec ces valeureux athlètes qu’étaient les guerriers Massaï ou de la beauté de leur plantureuses compagnes ? Bon, en effet, pour ces territoires les colons étaient belges, mais postulons que les plus cons préféraient rester au pays. Pour tout le reste, il faut savoir que le fonctionnement sociétal désacralisait la place du chef, qui n’avait fonction que de régulateur de conflits. Vous savez, le copain consensuel et pédant, qui écoute et qui dit toujours «oui» ? Et bien voilà le typique président de la république Massaï ! Ce même chef était désigné par l’assemblée lors d’un vote autour du repas, ainsi, on ne pouvait pas se cacher derrière des phrases toutes faites pour voter des conneries. Par ailleurs, la question du travail concernait les jeunes hommes dans la force de l’âge et était réparti en fonction des envies, des compétences. Il n’y avait pas de hiérarchie en quelque sorte, tout se décidait lors de discussions entre amis, dans la quiétude ou l’emportement qu’on peut avoir les soirs d’apéros, pas celle des examens de fin d’année, des manifestations ou des batailles rangées. Puis, ils n’avaient pas ces putain de frontières, juste des savanes ou déserts aux limites discutées avec les «régulateurs» voisins. On ne faisait pas du commerce pour accumuler le bénéfice et l’on n’avait pas encore inventé le profit sur le capital, on échangeait une chèvre contre des cruches, quand il fallait abreuver le peuple ou du riz contre une flûte, quand il fallait marier les enfants. Le bonheur était simple, on baisait dans l’herbe, on bossait pour les besoins des sœurs et frères. Oh, tout n’était pas parfait, loin de là, mais laissez moi émettre le doute que c’est plutôt sur ce chemin là que le monde aurait du flâner.
Haaaa Albert, tu t’égares... C’est si bon de rêver... Enfilons un pagne et partageons donc nos fluides, nous cesserions peut être de nous plaindre de nos futilités matérialistes ou de nos migraines à la con. Que ceux qui m’aiment, me suivent !
Albert Fumier, pour vous servir.
La photo rend l'article tout de suite plus explicite ..! On peux avoir le facebook de Mlle aux lèvres pulpeuses ainsi que ceux des deux blondes avec la voiture ahah. Plus sérieusement article interessant à quand un article sur les bienfaits de l'urine et des matières fécales pour la santé !
RépondreSupprimerBonne continuatioon!
En effet l'urine est couramment ingurgitée en Inde et en Sibérie notamment. Quant aux matières fécales, il n'est que de rappeler à quoi l'on reconnait la qualité d'une andouillette...
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