Merci à Mle N pour son bronzage. |
Coquine Telline.
Il faut savoir que l’homme est le seul mammifère à pratiquer de temps à autres le coït dans l’eau (à part la baleine, bien sur, ne me prenez par pour un con). Et non sans mal car la mécanique enchanteresse de la lubrification du sexe féminin se trouve évidemment perturbée par la présence du H2O, ses sécrétions, à l’inverse de l’huile, se diluant illico. Pour se faire, deux solutions, donc : taper de la jeune, mieux disposée à sécréter à tout va, ou limiter plus que de mesure le rapport dans sa durée. Mouai… Ne faites pas les malins, je sais que ça ne dure déjà pas bien longtemps or il faudra, pour une fois, faire un effort pour cracher au plus vite la cyprine. Ne vous inquiétez pas pour ces dames, elles trouveront un intérêt différent à œuvrer en telle circonstance, les sensations provoquées par la caresse aquatique leur procurant des plaisirs clitoridiens intenses, auxquels chacune à déjà pu s’exercer dans son bain. Nous voilà affranchi des notions pratiques liminaires mais ne vous croyez pas déjà experts, vous ne le serez jamais ! Tant de facteurs relatifs au contexte entrent en ligne de compte qu’il serait crédule de s’imaginer maîtriser la chose.
« floc floc floc floc »
Voilà bien 3 minutes que la culbute passionnée a pris place entre nos deux nombrils. Nous nous sommes stationnés en simili long baiser de vacanciers romantiques, à 30m du rivage. Pas assez loin pour laisser libre cours à nos gémissements nuptiaux mais juste assez près pour que ce pervers de CRS ne se fasse un devoir de venir nous sauver de la noyade. Zoé a enlacé mon bassin de ses tentacules et je lui ai laissé l’honneur de tourner dos à la plage alors encore peuplée de curieux. Mon job à moi, c’est de gérer la pénétration au fil des vagues, soulevant ses cuisses sportives à chaque remous, tout en assurant la surveillance des voyeurs allongés sur le sable (voire du surveillant lui-même car « j’ai toujours peur qu’il nous mate avec les jumelles, Albert »). Ouai ouai, en attendant, c’est toujours l’homme qui s’y colle et il n’est pas aisé de porter attention tout en savourant sa propre jouissance, je vous trouve parfois indécentes de vous en moquer, mesdames.
Reste le choix de la partenaire et là, nous touchons à toute la complexité du sujet. En effet, selon le morphotype ou le savoir faire de votre compagne, la position devra être adaptée. Des seins ? Préférez le plus souvent la piscine et retournée, pour voir cette douce matière balancer avec souplesse en phase de flottaison agitée. Il y a, dans la grâce de ces mouvements, du Dauphin qui saute de vagues en vagues ou du sac Carrefour perdu dans la houle de Palavas, c’est selon le modèle et l’âge de la partenaire. Des fesses ? A 4 pattes dans la rivière, pour voir les deux dômes trônant au zénith du postérieur dépasser de l’eau, telles des narines d’hippopotame. Les genoux bien calés entre les galets, la levrette ravira tant l’hameçon que la belle escabenne. Une bouche pulpeuse ? Adonnez vous à la fellation en apnée en bord de plage, après avoir convenu, tel des plongeurs, du langage des signes en employer. Et quitte à boire la tasse, mesdames, autant avaler.
Nous voilà accordés, il n’y a pas de réel intérêt à garnir la vidéothèque à sex tape de Poséidon, tant les plaisirs aquatiques sont en duo très limités. Alors, bien sur, pénétrer sauvagement une fille de bonne famille dans sa piscine la nuit de son 25ème anniversaire ou encore culbuter dans les vagues la capitaine de l’équipe de volley adverse a tout pour vous faire vibrer mais ne perdez pas aveuglément votre temps à chasser la proie aquatique, moussaillon, car la prétendue fougueuse sirène se transforme bien souvent en étoile de mer. Vous saisissez ?
Albert Fumier, pour vous servir.
Ah ça sent le vécu et les sécrétions flottant ça et là sur la mer!
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