vendredi 15 février 2013
Intégriste…athée ! JohnnyBadDog
Christianisme, Islam, Judaïsme, Hindouisme, arrghh !! Bon j’arrête là, je vais vomir… Vous aurez quand même deviné que je vais vous parler des religions, enfin pas vous parler, prêcher avec tout mon venin possible au sujet de ce concept créer pour asservir (encore une fois, décidément) et qui embrume les cerveaux de la plèbe depuis que Dieu a créé la terre ! Amen.
Il faut avant tout reconnaître un fait, arriver à raconter autant de conneries au sujet de quelque chose ou quelqu’un qui n’existe pas, ça force tout de même le respect, arrghh même « respect » je n’arrive pas à le dire à leur sujet !! Bref, je ne vais pas essayer de
Il faut avant tout reconnaître un fait, arriver à raconter autant de conneries au sujet de quelque chose ou quelqu’un qui n’existe pas, ça force tout de même le respect, arrghh même « respect » je n’arrive pas à le dire à leur sujet !! Bref, je ne vais pas essayer de
Lettre ouverte aux deux sexes, n°4. Albert Fumier.
Merci à Mle S pour sa silhouette |
Bis repetita, ma Zoé vient de se brûler contre le robinet d’eau chaude au cours d’une de ses contractions hebdomadaires. J’ai remarqué son petit rituel : chaque dimanche elle quitte la suite nuptiale pour investir direct la salle de bain, laissant ses légers vêtements de nuit au fil du trajet. Les ramasser me reporte à l’effeuillage de la veille, divin flash back ménager que je ne me prive pas d’opérer... Ainsi, je l’ai déjà eu surpris, avachie dans la baignoire, une patte à cheval sur la faïence et l’autre campée sur la tuyauterie. Son visage découpé par la ligne d’eau et la bouche entrouverte m’évoquant une version érotique des camées à ma grand mère... Je restais transis devant la sensualité sans équivoque de la scène. Zoé, yeux fermés et doigts habiles, se donnait du plaisir, qui aurait osé l’en priver ?
Lecture labiale.
Billet d'humour. Gustavo Mazzatella
« On peut rire de tout mais pas avec n’importe qui » disait Desproges, considéré aujourd’hui par tous comme un anticonformiste. Malheureusement, il fut à la fin de sa carrière, comme Coluche ou encore Guy Bedos, le fer de lance de ses humoristes faussement engagés, dont la seule subversion a été d’être un antilepeniste primaire au service de l’antiracisme et de la morale, du pain béni pour la gauche comme la droite. Eux qui avaient si bien commencés, ils sont tombés la tête la première dans le piège même pas tendu par les politiques. Aujourd’hui, le combat de leurs successeurs considérés comme humoristes politiquement incorrect, de Guillon à Porte en passant par Roumanoff (le troisième frère Bogdanoff !), s’est transformé par de
Tu ne mourras point. Marie Jeanne
Qui n’a jamais rêvé, de planter son compas dans la tête du camarade de classe assis devant ? Qui ne s’est pas imaginé en train de trancher la gorge à son patron lorsqu’il utilise l’humiliation publique comme expression de son pouvoir ? Qui n’a pas connu ce désir profond d’appuyer à fond sur la pédale d’accélérateur quand la mamie, avec son petit sac à main serré contre sa poitrine, traverse un passage piéton à la vitesse de son déambulateur ?
Le meurtre est un art délicat qui, tapi en chacun de nous, attend d’exploser tel un geyser de folie un soir de débauche. Nous sommes tous des artistes à la recherche d’une muse. L’inspiration investit notre corps par surprise alors que le talent se développe en pratiquant. Comment exceller dans un art si l’on ne peut s’y exercer allègrement ? Si seulement les lois n’existaient pas. Si aucune convention sociale ne pouvait freiner nos ardeurs sanguinaires. Que se passerait-il si le contrôle était laissé au ça ? N’obéir qu’à une seule chose : nos pulsions aussi destructrices soient-elles.
Le meurtre est un art délicat qui, tapi en chacun de nous, attend d’exploser tel un geyser de folie un soir de débauche. Nous sommes tous des artistes à la recherche d’une muse. L’inspiration investit notre corps par surprise alors que le talent se développe en pratiquant. Comment exceller dans un art si l’on ne peut s’y exercer allègrement ? Si seulement les lois n’existaient pas. Si aucune convention sociale ne pouvait freiner nos ardeurs sanguinaires. Que se passerait-il si le contrôle était laissé au ça ? N’obéir qu’à une seule chose : nos pulsions aussi destructrices soient-elles.
L'invité du Nouveau Monstre : Little Miss Madmind.
Nouvelle rubrique : de temps à autre, le nouveau monstre accueillera un ou une invité rencontré par Albert Fumier, qui viendra nous raconter ce qu’il ou elle a à dire !
Après s’être spécialisée dans les contes pour grands enfants en Région berrichonne, Little Miss se tourne aujourd’hui vers le médium internet, par soucis de «liberté de pester», dit elle... Un sacré personnage à la plume acérée, qui n’hésite pas à dépeindre le quotidien des jeunes femmes de maintenant, blasées par l’hypocrisie de façade, nourries à la baise et au Xanax. Sombre, subtil et rythmé, je vous laisse dévorer... Albert Fumier.
«Quand le calme devient une faiblesse...»
Ce matin, je me suis levée avec une putain d’envie de crier.
Inscription à :
Articles (Atom)