mercredi 13 novembre 2013

Lettre fermée à Nabilla ! Gustavo Mazzatella.

Merci à Mle M.
Ô Nabilla... écrire son nom me fait bander. Ses lèvres ourlées et pulpeuses, son regard pénétrant, ses formes voluptueuses et généreuses, elle rend lâche, fourbe, faible, stupide, n’importe quel homme. Quand j’entends un bouffon bien/mal coiffé ou une conne mal/pas baisée se foutre de la gueule de Nabilla, je suis obligé de prendre sa défense. Et comme cela arrive souvent, j’ai décidé de le faire une bonne fois pour toute ici. Un article de plus qui ne sera pas compris, de toute façon même pas lu !

On la critique facilement car elle n’a pas la moindre culture - vous savez ce que je pense de la culture... - elle n’est au courant de rien de l’actualité, qu’elle soit
politique, sociétale ou autre, tout ce qui vous semble d’une importance fondamentale mais qui n’en a en vérité aucune. Il suffit d’observer son parcours, notamment voir de là ou elle est partie pour se rendre compte qu’elle a parfaitement raison de ne pas y accorder le moindre crédit. J’admire pleinement ces êtres qui, instinctivement, sortent toujours vainqueurs de n’importe quelle situation. Nabilla en fait partie, tout comme cette ordure de Bernard Tapie ou Booba.

Elle a tout compris de ce que doit être la femme des années 2000. Dans ce monde d’emballage inhabité, de communication stérile, de vide intersidéral, de publicité, de superficiel, elle a fait d’un rien une fortune, une notoriété qui rend jaloux un bon nombre de gens. Ses détracteurs les premiers, tout ceux qui ont le culot de la railler alors qu’ils rêvent toutes les nuits d’être à sa place, invitée ou plutôt convoitée par TOUS les médias. Quand je la vois sur le plateau de Grand journal, cela ne m’étonne pas de la voir supérieure à tous les membres de cette émission ignoble. En plus de faire grimper leur audience au ras de l’asphalte, elle leur donne à chacun un cours d’une prestation télé digne de ce nom. Ils la reçoivent comme une grande actrice, que ce soit Denisot ou De Caunes, mais on sent bien dans leur regard sournois ou leur ton condescendant tout le mépris qu’ils ont pour elle, mais pas question de lui en faire part, ne vous inquiétez pas. Quel courage !... Chez Biraben, l’autre naze de belge qui doit avoir 15 auteurs pour sa chronique pas drôle se croit intelligent et subversif parce qu’il aligne trois phrases qu’elle fait bien évidemment semblant de ne pas comprendre... Pauvre type.

Je crois que ce qui me plaît le plus avec Nabilla, en dehors de son physique, c’est qu’elle doit sûrement faire rager toutes les féministes de merde, de Clémentine Autain à Isabelle Alonso, représenter le symbole de la destruction de « l’image de la femme » qu’elles essaient en vain de construire. Nier la différence entre un homme et une femme, c’est aussi stupide que de nier l’existence des races. Un décroisement de jambes sans culotte fait couler beaucoup plus d’encre que la déclaration « virulente » mais surtout pertinente d’un footballeur sur des journalistes. Les seins de Nabilla rivalisent facilement avec n’importe quelle arme de destruction massive. Son vagin a plus de pouvoir que le président de n’importe quel pays ! Seule une féministe peut me contredire, dans sa pensée hypocrite et fausse de l’espèce humaine. J’exècre les féministes. La plupart sont des boudins évidemment (y’a qu’a voir les Femen), le seul désir qu’elles m’évoquent est de leur enfiler une burqa. Celles qui pourraient être jolies font tellement tout pour qu’on ne les considèrent pas « juste pour leurs physiques » qu’elles en deviennent d’une laideur profonde. Je les vomis autant que les hommes se la jouant féministe pour essayer de les baiser, sans réussite bien sûr. Une fille qui sait qu’elle est jolie et s’en sert comme Nabilla et tant d’autres, prouve par ce simple fait qu’elle est largement plus brillante que les autres coincées ou n’importe quel homme. C’est une preuve irréfutable. Rares sont celles qui peuvent évaluer et utiliser sciemment leur gigantesque pouvoir d’excitation. Nabilla possède ce savoir.

Au cours d’une discussion, conversation, réunion, le silence d’une bombe sexuelle a plus de poids que le brouhaha futile des autres. Si Ségolène Royal avait vraiment voulu être présidente, elle n’avait qu’à fermer sa gueule plutôt que de passer pour l’hystérique qu’elle est, car une femme souhaitant « officiellement » le pouvoir n’est qu’une conne qui ignore qu’elle l’a déjà. La femme belle doit se permettre le luxe de ne rien dire, un seul sourire et elle l’emporte sur tout le monde. C’est ça la liberté ! La philosophie féministe est constipée, elle souhaite attaquer l’homme sur son terrain, lui ressembler dans tout ce qu’il a de plus abject. Leur complexe me fait penser à celui de tous les sports (et notamment le rugby) par rapport au foot. L’égalité de l’absurdité ! Si certaines vulves souhaitent devenir des bites, c’est leur problème ! Mais qu’elles n’obligent pas les autres à en faire de même et perdre tout leur pouvoir, leur avantage, leur supériorité. Une queue sera toujours le sous-fifre d’une chatte.

Comment peut-on oser traiter un homme de salaud simplement parce qu’il passe tout son temps à essayer d’enfiler des femmes ? Il n’y a rien de plus naturel, tout comme les salopes (seuls les imbéciles trouvent ce mot péjoratif) qui utilisent leurs corps afin d’arriver à leurs fins. La fin justifie les vagins ! La pulsion sexuelle dicte tout. Chaque livre écrit, tableau peint, musique composée n’est que le fruit d’un désir animal. Tout humain qui se respecte est obsédé sexuel. Le corps sublime de celle qui illustre cet article est une des plus sensationnelle création de la nature, largement plus « beau » et puissant qu’un chef d’oeuvre de Van Gogh ou Picasso. Le bijou noir et rose, comme le nommait Baudelaire, fait toujours la différence.

Gustavo Mazzatella.

3 commentaires:

  1. article et point de vue intéressant mais plus porté sur le pouvoir de la femme que sur nabilla non?

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  2. J'aimerais bien pouvoir serrer une nouvelle bite dans mon lit au quotidien. Mais ce n'est pas si facile mon petit Mozarrella, trêve de pragmatisme ! Tu rêves devant la censure sélective des médias. Shame on you ! La femme belle et intelligente fait peur. "Nabilla possède ce savoir". Le savoir de rayonner par l'image, mais que sais-tu de ses mots véritables ? Face à sa vulve, tu deviendrais précoce, et tu la haïrais de ce pouvoir si frustrant, Ô petit homme... Allez bisou

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  3. Si chaque sexe reste dans son « univers », naîtra enfin la « connivence » entre les sexes. Féministes, arrêtez de vouloir barrer la route aux « pulsions » des hommes. Vous êtes responsables du « malaise masculin ».

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