mardi 21 février 2017

Aventure intérieure. Lulubrik

Lulubrik par Mélissa Waga
“Tu me pénètres fort. Tu plonges d’un grand coup sec au plus profond de moi, atteignant les abysses de mon être encore contracté. Tu sais, je ne suis pas encore prête à te recevoir, ma vulve est encore sèche et j’appréhende la douleur que peut engendrer cette entrée si violente. Mais c’est une crainte que j’aime. Oui, je l’attends cette douleur, je la désire honteusement. Dans les secondes qui suivent, je suis trempée. C’est dans ces circonstances-là que je mouille le plus.”

“Je suis attiré par la chaleur que dégage ton sexe. Je sens le désir dans ma bouche comme un goût de fer, ou de sang. Mon excitation est à son apogée. Je ressens presque une nausée tellement j’ai besoin d’enfoncer ma queue dans cette chaleur. A ce moment précis, il me faut rentrer au plus profond
de toi, aussi loin que je peux le faire.”

“Je peux sentir ta peau nervurée qui glisse le long de la paroi de ma vulve. Je peux sentir ton gland si doux frayer un passage en moi.”

“Je sens que tu es dilatée, légèrement lubrifiée. Il ne te faut pas beaucoup de temps avant que tu ne te mettes à mouiller abondamment. Je glisse ma main sur le haut de tes fesses où je sens ta cyprine inonder ta raie, je remonte jusqu’à ton anus que j’adore caresser du bout de mon doigt. Tu coules de plaisir. Ton liquide atteint même mes couilles. C’est tiède et doux.”

“Délicatement je suinte jusqu’à dégouliner entièrement. Je n’arrive plus à me contenir, je relâche tout. Mon liquide se repend d’abord sur ton sexe qui est en moi, il l’encercle, le condamne et le surplus s’échappe. Il y en a sur ta queue, sur tes couilles, sur mes fesses, sur tes mains, sur les draps, sur nos corps emmêlés. Ce liquide est métaphoriquement le prolongement de mes mains, comme des tentacules qui possèdent et encerclent sa prise. Le plaisir est désormais intense et provoque des vagues de sensations indescriptibles.”

“Je suis désormais sous l’emprise de ton désir. Tes poils pubiens caressent mes couilles et mon ventre, tes lèvres recouvrent la base de mon sexe et ton vagin si étroit habille chaudement ma queue. C’est comme si deux mains douces et habiles, enduites d’une huile aux propriétés mystérieuses étranglaient ma queue sans pour autant l’étouffer. S’ajoute à cela un effet d’aspiration. Mon gland est lui aussi aspiré, léché par les parois de ton vagin. Le corps qui m’anime se laisse totalement aller dans la délectation. Il voudrait te baiser sans cesse, lécher et boire ton jus, te déchirer et jouir... Jouir sans cesse et recommencer.”

Lulubrik

5 commentaires:

  1. Un vrai talent, je bande

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  2. Sublime ! mais ce texte parle d'amour véritable non???

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  3. C'est bien écrit, dialogue interessant. Chaud casch choquant, mais sincère et poignant, voir excitant ! J'aime !

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  4. Merci pour ces jolis mots... et oui, je parle bien d'amour... :)

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  5. J'aime beaucoup!! Bravo!! Et très belle photo!!!

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